
Catégories
- Art (7)
- Chef-d'oeuvre Televisuel (3)
- Cinéma (77)
- Citations (3)
- Littérature (26)
- Musique (148)
- Peinture (11)
- Pensée (20)
- Photographie (5)
- Sagesse (6)
Archives
- mars 2013
- février 2013
- janvier 2013
- novembre 2012
- octobre 2012
- septembre 2012
- août 2012
- juin 2012
- avril 2012
- mars 2012
- février 2012
- décembre 2011
- novembre 2011
- octobre 2011
- septembre 2011
- juin 2011
- mai 2011
- avril 2011
- mars 2011
- février 2011
- janvier 2011
- décembre 2010
- octobre 2010
- septembre 2010
- août 2010
- mai 2010
- avril 2010
- mars 2010
- février 2010
- janvier 2010
- décembre 2009
- novembre 2009
- octobre 2009
- septembre 2009
- août 2009
- juillet 2009
- juin 2009
- mai 2009
- avril 2009
- mars 2009
- février 2009
- janvier 2009
- décembre 2008
- novembre 2008
- octobre 2008
- septembre 2008
- août 2008
Commentaires récents
Visiteurs
Il y a 1 visiteur en ligne
Recherchez aussi :
Liens
Vous devez être connecté à votre compte pour me contacter
I love :
La Musique…
...en général
Et je me nourrissais de fleurs et de fruits, avec une telle observance des préceptes, que pas même un chien ne m'a vu manger. Comme l'existence provient de la corruption, la corruption du désir, le désir de la sensation, la sensation du contact, j'ai fui toute action, tout contact ; et - sans plus bouger que la stèle d'un tombeau exhalant mon haleine par mes deux narines, fixant mon regard sur mon nez, et considérant l'éther dans mon esprit, le monde dans mes membres, la lune dans mon coeur, - je songeais à l'essence de la grande âme d'où s'échappent continuellement, comme des étincelles de feu, les principes de la vie. J'ai saisi enfin l'Ame suprême dans tous les êtres, tous les êtres dans l'Ame suprême ; - et je suis parvenu à y faire entrer mon âme, dans laquelle j'avais fait rentrer mes sens. Je reçois la science, directement du ciel, comme l'oiseau Tchataka qui ne se désaltère que dans les rayons de la pluie. Par cela même que je connais les choses, les choses n'existent plus. Pour moi, maintenant, il n'y a pas d'espoir et pas d'angoisse, pas de bonheur, pas de vertu, ni jour ni nuit, ni toi, ni moi, absolument rien. Mes austérités effroyables m'ont fait supérieur aux Puissances. Une contraction de ma pensée peut tuer cent fils de rois, détrôner les dieux, bouleverser le monde.
G.Flaubert
sometimes a cup of
to be in search of
0 Réponses à “David Byrne & St. Vincent – ‘Who’”